Accusée de tous les maux ou perçue comme un eldorado, l’intelligence artificielle occupe une place prépondérante dans l’imaginaire de nos sociétés. En ce qui concerne l’école et le champ éducatif après une longue période de balbutiement notamment en ce qui concerne l’élaboration d’outils de traduction en langues, des outils et plateformes plus performants semblent aujourd’hui voir le jour. De plus en plus utilisées en classe de langues mais aussi en français et en mathématiques ces applications apportent aux enseignants la possibilité de différencier leur enseignement, les traces laissées par les apprenants contribuant à l’individualisation de leurs parcours.
elle place donner à ces nouveaux outils dans l’enseignement ? Comment veiller à ce qu’ils ne se substituent pas à l’enseignant ou que l’individualisation qu’ils permettent ne vienne pas déconstruire le groupe classe et le travail qui y est fait ?
Avec la participation de :
- Coté recherche : Eric Bruillard, professeur à l’Université de Paris, directeur du laboratoire EDA, Éducation, Discours, Apprentissage ; Charles Tijus, Professeur de psychologie cognitive à l’Université Paris VIII, Directeur du Laboratoire des Usages en Technologies d’Information Numériques (LUTIN)
- Coté enseignement : Jéremy Camponovo, enseignant
- Côté édition : Thierry de Vulpillières, créateur et directeur d’EvidenceB
- Côté médiation : Jérôme Kirman, médiateur scientifique aux Etincelles (Universcience)
Un webinaire animé par Catherine de Coppet, journaliste scientifique, organisé en partenariat avec les Cahiers pédagogiques et avec le soutien de MAIF.